Un autre monde, aux Éditions l’Harmattan, de Sylvie Teper
Plongez au cœur de l’horreur de la Seconde Guerre mondiale à travers les yeux d’un jeune garçon de 17 ans. Ce récit authentique, façonné après un an d’interviews et de recherches, offre un témoignage poignant de cette période sombre de l’histoire.
Ce qui distingue cette histoire des nombreux récits de guerre, c’est la puissante histoire d’amour qui s’y déroule. L’adolescent, épris de sa cousine, puise dans cet amour la force et le courage nécessaires pour survivre au chaos qui l’entoure. Une histoire inoubliable, qui illustre la capacité de l’amour à briller même dans les pires moments de l’humanité.
Quatrième page de couverture
— Tu ne comprends pas ? Il n’y a plus de trains. Il n’y a plus rien. Plus de communication. Ils sont prisonniers, ils ne peuvent plus sortir. Tu comprends ?
Le garçon secoue la tête, désemparé.
Âgé de 17 ans, il était un élève brillant, sportif, espiègle. Mais ce 11 novembre 1939, sa vie bascule : il est seul, sur le quai d’une gare d’une ville inconnue.
Pendant des années, il devra réagir très vite, dans l’instant, sans jamais savoir s’il prend la bonne ou la mauvaise décision, sans jamais connaître les conséquences de ses choix. Dans ce périple initiatique, il croisera le chemin de sa cousine, pour qui il risquera sa propre vie, avant d’entrer, avec elle, dans un autre monde, un monde sans règles ni lois pour des gens comme eux.
Les lecteurs en parlent :
Poignant.
Écrit à la première personne et au présent, un garçon espiègle de 17 ans champion de kayak voit sa vie changer de cap entre 1939 et 1945. Le style clair, limpide, rythmé nous entraîne à tourner les pages, à suivre le courage et la présence d’esprit de cet adolescent amoureux de sa cousine qu’il veut à tout prix protéger. Même si le pathos est inexistant, l’émotion est forte.
J’ai lu rapidement ce livre ( en une nuit),et une fois refermé, je n’ai pu que rester admiratif devant le cran et la présence d’esprit de ce Jakub. Car c’est une histoire vraie.
Je recommande.
Romain
Un jeune adolescent, champion de kayak, doit ,dès le 11 novembre 1939, oublier sa douce vie d’espiègle et de sportif. Il va devoir se battre pour survivre. L’amour pour sa cousine lui donnera la force, le courage et surtout sa raison de lutter et de vivre. Il veut la protéger. Pendant près de cinq ans, il devra réagir vite, prendre des décisions sans jamais savoir où cela le mènera.
Ce récit de vie, écrit au présent de narration, avec des phrases courtes et une certaine distance, nous amène, de façon vivante et visuelle dans un autre monde: celui de la guerre et de l’horreur. Pas d’adjectifs, pas de description pour faire pleurer . L’auteure ne s’apitoie pas, elle a mis en une forme fluide, un moment de vie qui ne l’était pas( c’est écrit avec » je », comme si c’était le jeune homme qui racontait) . En refermant le livre, je n’ai pu m’empêcher de penser que l’amour fait vivre.
Ça se lit très vite et ça ne s’oublie pas.
Éric
Si le sujet de la Seconde Guerre mondiale a été très souvent abordé, ce récit véridique a pour lui un style limpide, clair et prenant. Il est si bien écrit que l’on partage les joies et les douleurs de l’adolescent . Impossible de rester indifférent.
Un grand moment d’émotion très bien rendu par l’auteur qui évite le pathos.
Joyeux
On est pris dans le récit, happé dès les premières pages. Impossible d’arrêter sa lecture : le style est très accrocheur, les rythmes variés ( phrases courtes ou longues selon l’effet recherché: très efficace!). L’angoisse et l’émotion sont au rendez-vous.
Histoire de guerre, d’un récit d’un amour hors du commun.: on vit avec le personnage-narrateur, on avance avec lui. Sa voix est juste, sincère et inoubliable.
un seul regret: en 48h, j’avais fini de le lire
Léacourtille
Hommage à un grand homme
J’ai eu le privilège de connaître ce JAKUB et de l’accompagner dans la dernière année de sa vie, ce livre est à l’image de cet homme, humble, attachant … À lire absolument.
Stéphanie