Une ruine au sommet d’une colline boisée !
Mais que s’est-il donc passé dans ces murs ?
Quelque chose d’invisible perturbe ma vision. Une âme qui s’agite ?
Alors, je m’assieds devant la tour carrée, habitée par les oiseaux. Je la détaille et me demande si cet état de délabrement est l’oeuvre du temps ou celle des hommes ?
Contempler une ruine , c’est se questionner, méditer, s’évader, rêver aussi.
Oui, elle a ce pouvoir de nous inviter à penser, mais aussi de nous pousser à regarder dans le passé.
Comme je ne me lassais pas d’admirer ces pierres, j’ai voulu savoir qui a élevé cette tour-manoir, aujourd’hui perdue au milieu de ronces ? Qu’est-il devenu ? Ma curiosité m’a poussée dans les archives, la surprise a été grande. Alors, son propriétaire a repris vie dans « Le cercle du Treize« , roman, aux Éditions Anfortas.